Cette série est née d’une tentative de saisir l’instantanéité, la fragilité d’une vision quand le regard est éveillé par l’image d’une silhouette passante.
Conscient ou inconscient, notre cerveau imprime cette image, puis l’oublie ou l’efface pour saisir d’autres envolées.
Entre souvenir et effacement, présence et disparition, le corps devient trace, vibration, élan.
Le corps féminin est au cœur de cette série, comme une figure en mouvement, libre, insaisissable.
Elle cherche moins à capter qu’à traduire une sensation, celle de la féminité en marche, fluide, vivante, indomptable.
Cette série se déploie en trois mouvements, comme un voyage onirique et pictural, où les corps ne s’offrent pas, mais passent.
Ils deviennent résonances, fragments, lignes fugitives, apparitions sensibles toujours en liberté.
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